
«Rome: d'amour et de sang» - le court
«ENVOÛTANT SPECTACLE!!!!! Émotion garantie! Chanteurs irrésistibles et un coup de cœur pour Galileo, que je découvre avec son chef Daniel Constantineau, si inventif et qui donne à la musique baroque toute sa flamboyance! Je suis sous le charme!»
​Pierre VACHON, Opéra de Montréal
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Présenté le 27 février dernier à l’Opti-Centre de Vaudreuil-Dorion, le concert «Rome: d'amour et de sang» a fait un tabac auprès d'un auditoire peu nombreux mais attentif et enthousiaste. Cliquez, vous ne serez pas déçus!
Galileo fête ses 15 ans!
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Galileo fêtait ses quinze années d'existence au soir du 31 octobre 2010 qu'il amorçait en lion — voyez ce roboratif 4e mouvement de la Jupiter interprété à l'occasion https://youtu.be/pOsskd8UeBE — son périple artistique.
Pour fêter ça et pour vous faire patienter l'annonce de son prochain concert, pourquoi pas un petit air bien connu? Le voici donc, arrangé en forme fugue interprétée sur clavecin échantillonné, histoire de marquer la qualité d'orchestre d'époque de l'Orchestre.
Galileo
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Anciennement connu sous le nom d'Orchestre symphonique de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, Galileo est le seul ensemble canadien spécialisé dans l’interprétation historiquement éclairée de répertoires allant de 1600 à 1935 environ, soit du baroque intermédiaire aux Années folles.
Fondé et dirigé par Daniel Constantineau, Galileo s'inscrit dans la mouvance du courant international «HIP» (historically informed performances), où se côtoient des phalanges aussi réputées que Les Siècles, l'Orchestre révolutionnaire et romantique, l'Orchestre des Champs-Élysées et le Haydn & Handel Society, pour ne nommer que celles-là, qui toutes révolutionnent à leur manière la façon d'interpréter les petits et grands chefs-d'œuvre de la musique symphonique.​​
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Daniel Constantineau
«Chef au sens rythmique irréprochable, à la direction précise et attentive, Daniel Constantineau permet à l’orchestre de maintenir un discours libre et naturel du début à la fin de chacun des morceaux du programme, révélant chez lui un interprète sensible et un musicien éminemment respectable à tous égards.»
C’est en ces termes élogieux que Claude Gingras, redoutable (et redouté!) critique musical du journal La Presse, s’exprime en juin 1997 au sujet du tout premier concert donné par Daniel Constantineau et l’Orchestre philharmonique du Grand Montréal...
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